Ze dédis ce message à tous les zamoureux de la chasse à la palombe ! Hic !
Adishatz !
jeudi 11 décembre 2008
jeudi 28 août 2008
Cela faisait un bail, non ?
Mais là je ne peux résister à vous présenter la relève...
Nous pouvons d'ores et déjà passer de bonnes nuits, nos retraites seront payées, c'est sûr !
Je vous présente, vu par la nouvelle génération :
le Cerveau...
Sa "fécondité"...
Ses capacités d'analyse...
Et pour nous achever, sa mémoire !
Adieu...
Billedeclownement désespéré !
Nous pouvons d'ores et déjà passer de bonnes nuits, nos retraites seront payées, c'est sûr !
Je vous présente, vu par la nouvelle génération :
le Cerveau...
Sa "fécondité"...
Ses capacités d'analyse...
Et pour nous achever, sa mémoire !
Adieu...
Billedeclownement désespéré !
jeudi 26 avril 2007
Je vais bien, tout va bien...
Mille bisous à toutes les fans de mon nez rouge...
Savatte tendue à tous les hommes de bonne volonté.
Petit break pour vous dire que tout va bien et que j'ai la chance de voler (comme une palombe ?) de succès en succès...
J'espère avoir un peu plus de temsp la prochaine fois pour vous dégotter quelque chose de moins rasoir...
(de toute façon un clown ça n'a pas de barbe !!!)
Billedeclownment encore très afféré... même plus le temps de faire le pitre !
Savatte tendue à tous les hommes de bonne volonté.
Petit break pour vous dire que tout va bien et que j'ai la chance de voler (comme une palombe ?) de succès en succès...
J'espère avoir un peu plus de temsp la prochaine fois pour vous dégotter quelque chose de moins rasoir...
(de toute façon un clown ça n'a pas de barbe !!!)
Billedeclownment encore très afféré... même plus le temps de faire le pitre !
jeudi 15 février 2007
Un peu de nostalgie...
Voici le spectacle depuis la fenêtre de la chambre de Maman au matin
du 25 janvier 2007...
Les Landes de Gascogne sous la neige et un vol d'une centaine de palombes...
De quoi rêver à autre chose que Paris !!!
A mon frère.
du 25 janvier 2007...
Les Landes de Gascogne sous la neige et un vol d'une centaine de palombes...
De quoi rêver à autre chose que Paris !!!
A mon frère.
lundi 12 février 2007
Un long silence me guette...
Voilà... je suis parti pour de nouveaux challenges professionnels...
A compter du 19 février je démarre à fond !!!
Alors ne pas s'étonner de mon silence.
Souhaitez seulement "bonne chance" à la bille de clown, et d'y être heureux comme un poisson dans l'eau...
Je rejoins les équipes de l'agence de publicité Bambuck (www.bambuck.com) en tant que directeur du développement, et en charge de la communication de l'agence.
A compter du 19 février je démarre à fond !!!
Alors ne pas s'étonner de mon silence.
Souhaitez seulement "bonne chance" à la bille de clown, et d'y être heureux comme un poisson dans l'eau...
Je rejoins les équipes de l'agence de publicité Bambuck (www.bambuck.com) en tant que directeur du développement, et en charge de la communication de l'agence.
mercredi 24 janvier 2007
vendredi 19 janvier 2007
C'est mon p'tit doigt qui...
... sur la couture, m'a dit, tu vas bien rire en lisant ceci.
Mot de l'éditeur
La République française s’affirme volontiers volubile, sinon éloquente, le mot se substituant volontiers à l’acte.Plus propre aux métamorphoses qu’un héros homérique, par cinq fois inventée sous des formes diverses, ce régime, instauré par des avocats et des professeurs, voire des poètes, ne saurait être que fertile en mots – certains disent plus noblement "paroles". Ce qui surprend, en cette effervescence, de l’un à l’autre des vingt-trois présidents qu’accueillit en un siècle et demi l’immuable Élysée, c’est qu’en fin de compte le recours aux mots n’ait pas été inversement proportionnel au passage à l’acte. Les plus inertes n’ont pas été les plus éloquents. La croissance exponentielle du pouvoir présidentiel n’a cessé de s’accompagner de celle de l’éloquence, de Louis Napoléon Bonaparte à Jacques Chirac.
Et tout çà pour 2 euros qui feront des heureux.
Morceaux choisis :
Au petit jeu des "qui a dit" voici quelques profondes pensées présidentielles, mais aussi des méchancetés, des perles, des loupés, etc. :
Une phrase à offrir aux adeptes des sondages: "Seuls les quatre derniers jours sont décisifs. Cela ne sert à rien de mobiliser les gens d'ici là..." (VGE).
Une répartie de De Gaulle à VGE lors d'un conseil des ministres (VGE étant alors ministre des finances) qui venait "vendre" l'emprunt Giscard d'Estaing... Et De Gaulle de dire : "...Giscard d'Estaing est un joli nom d'emprunt !!!"
Une méditation sur l'état et le libéralisme : "Il n'y a eu de France que grâce à l'Etat. La France ne peut se maintenir que grâce à lui". (De Gaulle).
Qu'est ce qu'un Président ? "Un eunuque politique" (Thiers), "Un homme est peu de chose, même quand il est président de la république" (Félix Faure). (La première définition ne s'applique bien sûr pas au second, vu sa mort)...
Chirac vu par Mitterrand : "Chirac est un De Gaulle sans 18 juin, mais disponible pour un 13 mai".
Dans sa préface, Jean Lacouture dresse un rapide et brillant historique de la fonction présidentielle à travers les 4 Républiques qui ont adopté ce rôle (avec des pouvoirs variables). Dans cet essai, admirablement écrit, le biographe relativise la parenté de fonction et le poids des 23 personnalités qui ont occupé l'Elysée.
"Essayer de comparer l'écho donné à un propos du chef de l'état au temps de l'affaire Dreyfus ou à l'époque de l'affaire Clearstream n'a pas de sens", écrit-il.
Et pourtant, rappelle-t-il, c'est à un Président de la République (et pas le plus grand d'entre eux, Félix Faure) que Zola adressa un des plus beaux textes "qu'ait inspiré la soif de justice", le fameux "J'accuse".
"Mis à part De Gaulle, qui déplace les données et les perspectives comme un autre les montagnes, n'est-il pas savoureux du M.Thiers en Mitterrand, du Poincaré en Pompidou, du Doumergue en Vincent Auriol et du Louis-Napoléon en Jacques Chirac", conclut Lacouture.
Pour terminer, citons le président Doumergue :
"Jamais un grand homme n'a pu devenir président de la République"... Avis aux candidats.
Lacouture, interviewé hier en fin d'après-midi par Jean Luc Hees sur RadioClassique, avoua à demi-mot que "ses" deux meilleurs présidents sont De Gaulle et Mitterand dans le maniement des mots et des phrases assassines.
C'est Billedeclownitiquement correct !
Mot de l'éditeur
La République française s’affirme volontiers volubile, sinon éloquente, le mot se substituant volontiers à l’acte.Plus propre aux métamorphoses qu’un héros homérique, par cinq fois inventée sous des formes diverses, ce régime, instauré par des avocats et des professeurs, voire des poètes, ne saurait être que fertile en mots – certains disent plus noblement "paroles". Ce qui surprend, en cette effervescence, de l’un à l’autre des vingt-trois présidents qu’accueillit en un siècle et demi l’immuable Élysée, c’est qu’en fin de compte le recours aux mots n’ait pas été inversement proportionnel au passage à l’acte. Les plus inertes n’ont pas été les plus éloquents. La croissance exponentielle du pouvoir présidentiel n’a cessé de s’accompagner de celle de l’éloquence, de Louis Napoléon Bonaparte à Jacques Chirac.
Et tout çà pour 2 euros qui feront des heureux.
Morceaux choisis :
Au petit jeu des "qui a dit" voici quelques profondes pensées présidentielles, mais aussi des méchancetés, des perles, des loupés, etc. :
Une phrase à offrir aux adeptes des sondages: "Seuls les quatre derniers jours sont décisifs. Cela ne sert à rien de mobiliser les gens d'ici là..." (VGE).
Une répartie de De Gaulle à VGE lors d'un conseil des ministres (VGE étant alors ministre des finances) qui venait "vendre" l'emprunt Giscard d'Estaing... Et De Gaulle de dire : "...Giscard d'Estaing est un joli nom d'emprunt !!!"
Une méditation sur l'état et le libéralisme : "Il n'y a eu de France que grâce à l'Etat. La France ne peut se maintenir que grâce à lui". (De Gaulle).
Qu'est ce qu'un Président ? "Un eunuque politique" (Thiers), "Un homme est peu de chose, même quand il est président de la république" (Félix Faure). (La première définition ne s'applique bien sûr pas au second, vu sa mort)...
Chirac vu par Mitterrand : "Chirac est un De Gaulle sans 18 juin, mais disponible pour un 13 mai".
Dans sa préface, Jean Lacouture dresse un rapide et brillant historique de la fonction présidentielle à travers les 4 Républiques qui ont adopté ce rôle (avec des pouvoirs variables). Dans cet essai, admirablement écrit, le biographe relativise la parenté de fonction et le poids des 23 personnalités qui ont occupé l'Elysée.
"Essayer de comparer l'écho donné à un propos du chef de l'état au temps de l'affaire Dreyfus ou à l'époque de l'affaire Clearstream n'a pas de sens", écrit-il.
Et pourtant, rappelle-t-il, c'est à un Président de la République (et pas le plus grand d'entre eux, Félix Faure) que Zola adressa un des plus beaux textes "qu'ait inspiré la soif de justice", le fameux "J'accuse".
"Mis à part De Gaulle, qui déplace les données et les perspectives comme un autre les montagnes, n'est-il pas savoureux du M.Thiers en Mitterrand, du Poincaré en Pompidou, du Doumergue en Vincent Auriol et du Louis-Napoléon en Jacques Chirac", conclut Lacouture.
Pour terminer, citons le président Doumergue :
"Jamais un grand homme n'a pu devenir président de la République"... Avis aux candidats.
Lacouture, interviewé hier en fin d'après-midi par Jean Luc Hees sur RadioClassique, avoua à demi-mot que "ses" deux meilleurs présidents sont De Gaulle et Mitterand dans le maniement des mots et des phrases assassines.
C'est Billedeclownitiquement correct !
Inscription à :
Articles (Atom)